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La Descente aux Enfers de Jessie 17

Anal

Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire était illustrée, Malheureusement Sadkins116 vient de supprimer sa page sur Literotica. Il m’a affirmé avoir envoyé toutes ses histoires à Rebeccasm qui les republiera peut-être. Si j’arrive à récupérer les illustrations, je les joindrais au texte lors de la publication sur mon blog.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

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Quand le professeur Charles BUTLER entre dans la nouvelle chambre de Julie, celle-ci est à peine consciente. Sa tête pend en dehors de la cage par le trou dans l’ouverture. Au début l’homme se demande si elle n’est pas morte. Elle n’a pas bougé quand il est entré. Il s’agenouille à côté d’elle et écarte ses cheveux de son visage. Julie gémit et lève lentement les yeux vers son Maître.

– S’il vous plaît Maître, je serai obéissante. S’il vous plaît Maître, laissez-moi le prouver! Supplie-t-elle dans un murmure.

Charles sourit et ouvre la cage. Il sort doucement l’esclave engourdie et l’aide à ramper au milieu de la pièce.

– Voilà ma petite salope, ça sera plus facile. Dans quelques jours tu seras ravie de ton nouveau lit. Dit Charles en gloussant.

Il sait qu’au moment où elle devra retourner dans la cage, il aura brisé son esprit et elle fera tout ce qu’il veut.

Julie lève les yeux vers son Maître et dit :

– Merci Maître, cette esclave sera obéissante.

– Bien! J’ai déposé ton nouvel uniforme sur le lavabo de la salle de bain. Va te laver et habille-toi. Tu as quinze minutes pour le faire et descendre à la cuisine. Dit le professeur en libérant ses poignets et ses chevilles.

Charles baisse les yeux sur son esclave nue allongée à ses pieds. Elle ne bouge pas et regarde la pièce autour d’elle presque hébétée. Il lui donne un coup de pied dans le coude et crie :

– ALLEZ ESCLAVE! BOUGE TOI!

Il regarde Julie se mettre à genoux et ramper hors de la chambre jusque dans le couloir. Il pense que ses jambes sont encore engourdies, mais il aime la façon dont son cul se balance quand elle avance à quatre pattes.

Julie parvient enfin à se lever dans la salle de bain et elle se regarde dans le miroir. « Mon Dieu, comment suis-je arrivée là? » pense-t-elle alors que des larmes coulent sur sa joue. Elle regarde tout autour et voir le seau posé à côté des toilettes. Pendant une seconde elle pense à désobéir et utiliser les toilettes, mais elle s’approche et prend le seau.

– Je n’arrive pas à croire que je dois utiliser un seau. Dit-elle doucement en priant que son Maître ne l’ait pas entendue. Lentement elle baisse ses fesses sur le seau et libère sa vessie, suivie rapidement par ses intestins. Julie déteste ça, mais c’est toujours mieux que de s’asseoir sur un tonneau dehors. Elle jette un coup d’œil à l’horloge et remarque qu’il ne lui reste que dix minutes avant de devoir être dans la cuisine. Elle saute dans la douche et lave rapidement son corps épuisé.

Alors qu’il ne reste qu’une minute, Julie enfile la mini-robe en vinyle noir qui la laisse seins nus et descend les escaliers avec son seau. Elle se dépêche d’aller le vider dans le tonneau et de se précipiter dans la cuisine.

Son Maître est déjà assis à la table en train de lire son journal.

– Juste à temps esclave! Prépare mon petit déjeuner : Œufs, bacons et pain grillé! Et surtout ne les fais pas brûler! Commande-t-il en claquant son cul.

Julie saute sur place et crie de douleur, mais elle se met rapidement au travail. Son esprit est encore embrumé, mais il fonctionne. Il lui faut un certain temps pour tout préparer, elle a du mal à trouver tout ce dont elle a besoin. Mais vingt minutes plus tard, elle apporte à son Maître une assiette remplie. Elle n’a rien prévu pour elle, elle a trop peur qu’il la punisse.

Charles termine son petit déjeuner et se dirige vers le placard sous l’évier. Il sort un sac de croquettes pour chien et en verse dans un bol qu’il pose sur le sol. Julie le regarde choquée.

– S’il vous plaît maître, non, je ne peux pas manger ça. Maître, s’il vous plaît… Supplie-t-elle.

– Pas de problème esclave, ne le fais pas! Tu les mangeras bien quand tu auras faim. Maintenant nettoie la cuisine et retrouve-moi dans mon bureau. Dit-il avant de quitter la cuisine.

Julie baisse les yeux sur l’écuelle pour chien. Elle a très faim, mais elle refuse de tomber très bas si elle mange des croquettes pour chien. Elle préfère mourir de faim. Elle se met rapidement au travail, fait la vaisselle et nettoie la cuisine avant d’aller au bureau. Son Maître est assis sur une chaise avec un Konyaaltı travesti morceau de ferraille sur la table à côté de lui.

– A genoux esclave! Aboie-t-il.

Charles aime commander la jeune fille. Celle-ci obéit et s’agenouille presque entre ses jambes. Il attrape l’objet sur la table qui se compose d’une barre en fer avec quatre menottes. Il attache les chevilles et les poignets de Julie derrière son dos, la laissant à genoux et sans défense.

Julie reste là, son Maître l’ignorant et lisant un livre. Tous les dix ou quinze minutes environ, il attrape son cou et pousse son visage sur son sexe. Jamais assez longtemps pour qu’elle le fasse jouir, mais assez pour lui faire savoir qui est aux commandes. Ils restent comme ça pendant environ une heure avant que quelqu’un ne frappe à la porte.

Julie ne peut pas bouger alors elle attend que son Maître revienne dans la pièce. Il est suivi par un autre homme qui porte une boite. Cet homme s’approche de la jeune fille et lui attrape le menton. Il lève son visage pour regarder ses traits.

– Waouh, c’est le portrait craché de sa mère! Dit l’homme en posant ses mains vers ses seins pour les tripoter.

– Bien, très bien, ils seront beaucoup mieux une fois que nous en aurons fini avec eux. Ajoute-t-il.

Julie a le souffle coupé. Elle essaie de s’éloigner des mains de l’homme, mais liée comme elle est, c’est un effort futile. L’homme se tourne vers Charles et lui dit :

– Tu lui as déjà dit?

Le professeur secoue la tête et sourit.

– Oh! Je peux alors?

– Non, je lui dirai en temps voulu. Tu as apporté ce que j’ai demandé? Demande Charles.

– Oui, et je tiens à te remercier pour tes dernières formules. Elles fonctionnent très bien et les effets secondaires sont un plus. Sinon, tout dont tu as besoin se trouve dans la boite. N’oublie pas que le chimiste a dit qu’il lui faudrait un certain temps pour terminer un autre lot. J’en ai assez pour mes besoins, mais si tu as besoin de plus, ça va prendre un certain temps avant que nous recevions une autre livraison.

Charles se tourne vers Julie et lui fait un sourire diabolique.

– Où sont mes manières? Salope, voici le Docteur WILLIAMS. C’est le nouveau médecin de ta mère. Je voulais qu’il participe à ton traitement. Dis bonjour au Docteur WILLIAMS!

Julie lève les yeux vers le médecin et murmure doucement :

– Bonjour Docteur WILLIAMS. Qu’est-il arrivé à notre médecin habituel?

– Je suis un spécialiste et ce dont a besoin ta mère en ce moment. Mais ne t’inquiète pas, nous allons très bien prendre soin de vous deux. Répond le Docteur WILLIAMS.

La bite de l’homme commence à gonfler en se rappelant à quel point sa mère est bonne pour sucer des bites.

Les deux hommes parlent pendant près d’une heure. Julie reste agenouillée entre eux. Enfin, Charles demande au médecin :

– merci d’avoir fait le voyage jusqu’ici! Mon esclave peut-elle faire quelque chose pour te remercier?

– Absolument! Je verrai bien ces douces lèvres autour de ma bite. Répond rapidement le Docteur WILLIAMS en ouvrant son pantalon et en sortant sa queue dure comme du roc.

– Très bien! Salope, va faire plaisir à notre invité! Ordonne Charles en la traînant entre les jambes du médecin.

Julie n’est pas en mesure de résister. Elle se penche en avant et lèche lentement le gros gland violet. « Au moins c’est propre » pense-t-elle. Elle ouvre la bouche en grand et la queue s’enfonce lentement dedans. Julie n’a pas l’expérience de sa mère, mais son manque de compétence est compensé par l’enthousiasme. Bientôt le médecin gémit et pousse sa bite plus profondément dans la gorge de l’étudiante soumise.

Julie suce la queue de l’homme pendant plus de quinze minutes. A chaque fois qu’elle pensait qu’il allait jouir, il retenait sa tête jusqu’à ce qu’il parvienne à se retenir. Puis il recommençait à l’enfouir dans sa gorge. La bave de Julie coule sur ses seins.

Finalement, le médecin tire sur la tête de la jeune fille et enfoui son nez dans ses poils pubiens. Il éjacule dans sa gorge. Julie sent le sexe palpiter encore et encore, la semence se vidant dans son ventre. Presque immédiatement, la queue débande, mais Julie, ne voulant pas être punie, garde le sexe flasque dans sa bouche.

Bientôt, le Docteur WILLIAMS la repousse et se rassoit pour profiter du moment alors que les dernières sensations de plaisir traversent son corps.

– Tu as une gagnante ici Charles! J’ai hâte qu’elle soit formée. Dit-il avant de se lever pour partir.

Avant de se tourner vers la porte, il se penche et tapote la tête de Julie. Ce simple geste est beaucoup plus humiliant que de lui sucer la bite. Il la traite comme un animal de compagnie.

Julie essaie de garder l’esprit clair, mais sa vie est un cauchemar. En seulement quelques semaines, elle est passée de l’heureuse et insouciante étudiante avec une famille aimante en une esclave d’un professeur pervers avec une famille d’esclaves. Elle n’a plus Konyaaltıi travestileri rien, ni vêtements, ni argent. Et elle ne peut plus compter sur sa famille. A elle de se débrouiller pour survivre.

Après le départ du médecin, Maître Charles demande à Julie de nettoyer la maison. Il la laisse faire quelques pauses pour lui sucer la bite. Finalement il regarde l’heure et ordonne en souriant :

– C’est le moment de s’amuser. Suis-moi!

Julie a renoncé depuis longtemps à s’échapper. Elle suit son Maître les yeux fixés sur le sol.

Charles conduit l’étudiante au sous-sol. Au bas de l’escalier il y a deux portes. Il ouvre celle de droite et tire Julie dans une pièce sombre. La jeune fille est à l’intérieur quand son Maître allume la lumière, ferme la porte et la verrouille. Julie regarde autour d’elle. La pièce est pratiquement vide. Les murs de briques ne sont pas jointés et des anneaux sont fixés dessus.

Au fond se trouve une grande armoire avec un cadenas. Charles s’en approche et sort un jeu de clés. Il ouvre les portes et en sort quatre manchons en cuir avec des chaînes. L’homme ferme le placard et se dirige vers Julie tremblante.

– Ne t’inquiète pas ma jolie esclave, ça ne te fera pas mal du tout, et tu pourrais même en profiter.

Julie sait qu’elle n’est pas censée parler, mais elle a besoin de savoir.

– s’il vous plaît Maître, qu’est-ce que vous allez me faire?

Son Maître ignore son commentaire et attache les manchons en cuir aux poignets et aux chevilles de Julie. Bientôt la jeune fille se retrouve attachée en croix aux anneaux sur le mur de brique. Elle pleure ouvertement maintenant, elle a peur de ce que l’homme va lui faire. Elle le regarde se diriger vers la boite que le médecin a livré et l’ouvrir.

Charles ne veut pas qu’elle ait l’idée de ce qui va se passer, alors il garde son corps entre elle et la boite. Rapidement il prépare quatre seringues, chacune avec un produit chimique différent. Chaque drogue est conçu pour agir différemment sur le corps de la jeune fille. Normalement le traitement s’étale sur plusieurs mois, mais Charles sait qu’il n’a que deux mois pour terminer les changements du corps de la jeune fille. Donc il va lui donner le traitement chaque jour. Au bout de quatre semaines, son corps devrait se rapprocher de ce qu’il envisage.

Lorsque son maître se tourne vers elle, Julie a le souffle coupé. Il a une grande seringue en main et son visage affiche un sourire diabolique. Alors qu’il se dirige vers elle, elle crie :

– S’il vous plaît, ne faites pas ça. Je ne veux pas. S’il vous plaît, je ne veux pas de drogues dans mon corps.

Charles rigole devant les supplications de son esclave :

– Pourquoi dis-tu que tu ne veux pas? Tu pourrais aimer. Répond-il.

Julie, paniquée, lui demande de nouveau :

– Qu’est-ce que vous allez me faire? S’il vous plaît, dites-le-moi!

Charles s’immobilise quelques secondes. Il se demande s’il veut qu’elle sache ce qu’il va faire. Mas après réflexions il décide que non et attrape son sein gauche pour planter l’aiguille sur son mamelon et pousser le piston.

Au début, Julie ne sent rien, mais après quelques secondes son sein commence à chauffer. Les produits chimiques commencent à se répandre dans tout son sein. Avant qu’elle ne dise quelque chose, son maître sort une autre seringue et fait de même avec son sein droit.

La respiration de Julie s’accélère alors que la drogue se propage dans toute sa poitrine et son ventre. Elle a l’impression que ses seins grossissent et que ses tétons pointent en avant. Lorsque son Maître saisit ses seins, son corps éclate presque dans un orgasme qui vient de nulle part.

Les yeux de Julie s’écarquillent quand elle le voit aller à la boite et sortir deux autres seringues. Son esprit est confus, car elle ne s’est jamais sentie aussi excitée auparavant. Un simple contact léger sur sa poitrine allume un feu en elle qui consume maintenant tout son corps.

Julie ferme les yeux, des vagues d’excitation sexuelle traversent chacun de ses nerfs. Bientôt elle sent une piqûre dans une lèvre de sa chatte. Cette fois, le produit remonte jusqu’à son cœur et explose. Julie est absorbée par toutes ces sensations et elle ne remarque même pas la piqûre dans son autre petite lèvre de chatte. Par contre, elle ressent le résultat. Maintenant son corps tremble. Mais pas de froid, son corps tout entier éprouve des choses différentes de tout ce qu’elle a pu connaître auparavant. Elle a besoin de soulagement sexuel et tout de suite. Elle ouvre la bouche et dit des paroles qu’elle n’aurait jamais imaginé dire au professeur pervers et aujourd’hui son Maître.

– Oh mon Dieu, baisez-moi! Veuillez me baiser Maître! Veuillez enfouir votre bite tout au fond de mon corps! Faites ce que vous voulez, mais baisez-moi!

Charles BUTLER sourit. Il savait qu’il y aurait des effets secondaires, mais pas si puissants. A chaque injection, la drogue fera grossir ses seins. L’injection Travesti konyaaltı dans sa chatte va lui élargir les hanches et lui donnera un cul bien baisable et des lèvres de chatte gonflées. Le professeur s’attendait à une sensibilité plus aiguë, mais pas une telle et complète excitation. Il regarde Julie qui a les yeux et la bouche grand ouverts. Sa respiration est rapide et courte et du jus de sa chatte coule le long de ses jambes. Charles veut voir comment elle réagit et il fait glisser sa main sur sa cuisse. Il sourit alors qu’un long gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille. Plus sa main se rapproche de sa chatte, plus les gémissements deviennent forts. Juste au moment où ses doigts arrivent près des petites lèvres il les retire et regarde Julie crier de déception et pousser ses hanches en avant pour retrouver la main.

Charles apprécie chaque seconde de cette torture. Dès que l’étudiante se calme un peu, il la touche à nouveau, l’excitant jusqu’à ce qu’elle recommence à le supplier de la baiser. A chaque fois elle est plus proche de la folie. Finalement il s’éloigne et sort de la pièce.

Julie le regarde partir. Son corps est hors de son contrôle. Sa vessie s’est libérée deux fois et la satisfaction de pisser lui a donné un mini orgasme. Elle le supplie de rester et de la baiser, mais la porte se referme. Elle pousse alors un cri de rage alors que son corps a besoin d’une libération sexuelle.

Charles ouvre l’autre porte au sous-sol. Il entre. Il s’agit d’une grande salle avec beaucoup d’activité à l’intérieur. Charles BUTLER avait fait construire un grand studio vidéo dans son sous-sol. Il y a un grand écran, des caméras, des accessoires et toutes sortes d’instruments d’esclavage. Il se dirige vers le réalisateur et lui demande quand il aura fini le tournage actuel.

– Nous venons juste de commencer. Donc je pense qu’il nous faudra environ deux heures avant que nous soyons prêts pour votre nouvelle star. Répond le réalisateur.

– Génial! De toute façon, elle n’est pas en forme en ce moment pour être filmée. Avec un peu de chance elle le sera dans deux heures. Dit Charles avant de quitter le studio.

Il monte les escaliers et attend environ une heure dans son salon avant de revenir pour libérer Julie. Quand il entre, il voit qu’elle est suspendue par les poignets, une flaque de liquide entre ses jambes sur le sol. Il s’approche d’elle et lui caresse la joue. Un léger gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille et elle pousse sa joue contre sa main. L’homme sourit alors qu’elle roucoule à son toucher. Voyant qu’elle a repris un peu le contrôle de son corps, il la détache et la conduit à l’étage jusqu’à son bureau.

Julie est à moitié consciente quand son Maître lui touche la joue. Son toucher est magique, mais pas comme avant. Elle veut qu’il la touche davantage, mais quand il enlève s main, elle est moins en manque qu’auparavant. Quand il a fini de libérer ses bras et ses jambes, elle le suit comme un chiot perdu. Elle ne peut plus lui résister et elle fera tout ce qu’il veut. Son monde est centré sur son Maître.

Lorsqu’ils arrivent dans le bureau, Maître Charles lui ordonne de rester debout devant son bureau :

– Mains derrière la tête et écarte les jambes, esclave!

Julie obéit en espérant que si elle est bien obéissante il la baisera. Elle ne bouge pas et attend qu’il parle.

– Je suppose que tu te demandes ce qui se passe et ce que je te fais. Voilà, même si tu es jolie, tu n’es pas parfaite. Et je vais te rendre parfaite. Les injections que tu viens de recevoir ne sont que les premières. Tu vas en recevoir d’autres au cours des prochaines semaines. Tu remarqueras que ton corps change à chaque injection. Tes seins vont devenir beaucoup plus gros. Quand j’aurai fini tu auras une poitrine qui fera saliver les hommes. Tes hanches sont trop minces à mon goût et ne sont plus à la mode. Tout le monde veut que leurs femmes aient de plus gros culs. On peut remercier Kim KARDASHIAN. J’ajouterai des injections supplémentaires qui réduiront la graisse à ta taille. Tu vas avoir un beau cul avec des lèvres de chatte bien gonflées que chaque star du porno t’enviera.

Julie lève les yeux et le regarde choquée en entendant ce qui lui est réservée. Elle essaie de comprendre tout ce qu’il dit, mais à chaque fois les sensations dans son corps trouble son esprit. Elle a tellement besoin de jouir que les mots lui traversent la tête rapidement.

Charles rigole en voyant l’air désespéré de son esclave. Il peut voir son corps trembler et l’envie sur son visage.

– Maintenant, je suis sûr que ta prochaine question est pourquoi? Eh bien, dans les prochains mois , tu vas être la vedette d’une série porno, qui va raconter ton changement d’une naïve étudiante en une star du porno et esclave de son propre corps. Dit Charles en attendant une réaction.

La bouche de Julie s’ouvre alors que les mots atteignent son cerveau. La panique envahit son visage et elle s’effondre presque. Charles se lève et se dirige vers son esclave. Il sait qu’elle est sur le point de disjoncter quand il lui caresse les seins. Les yeux de Julie se ferment alors que son corps réagit à la caresse. En quelques secondes toutes les pensées sur ce qu’elle va devenir s’évanouissent tandis que tous les nerfs de son corps sont excités.

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